The Congo Crisis (1960 - 1965)

Crise au Congo : La situation à Stanleyville, quatre mois après l'opération de libération "Dragon Rouge" par des mercenaires belges en 1965, où des centaines de Belges et Européens ont été sauvés par parachutage de la prise d'otages par les rebelles Simba dirigés par Pierre Mulele. La situation émotionnelle des expatriés européens est également abordée, ainsi qu'une entrevue avec le colonel Mulamba, le commissaire de la république. Suivre sur Twitter: https://Twitter.com/BasedCongo Suivre sur TikTok: https://www.tiktok.com/@belgiancongo #CriseCongolaise #PierreMulele #LéonardMulamba

Un reportage saisissant relate un épisode marquant de la guerre en brousse qui a éclaté en 1964 dans la province orientale du Congo. Le journaliste Raoul Goulard de la RTB, accompagné de son équipe, s'est immiscé au cœur des rangs des soldats de l'ANC (Armée nationale congolaise). Sous le commandement du général Mobutu et bénéficiant du soutien aérien américain, ces troupes ont lancé, à la mi-juin '64, une offensive d'envergure dans la vallée de la Ruzizi contre la rébellion menée par Pierre Mulele. Le reportage offre une vision inédite et immersive de ces événements. En complément, une interview exclusive du général Mobutu vient éclairer les enjeux et les stratégies qui ont prévalu lors de cette opération cruciale. Le témoignage du commandant en chef des forces congolaises offre des perspectives précieuses sur les défis auxquels étaient confrontées les troupes et la détermination qui les animait dans leur lutte pour la stabilité et l'unité du Congo. Suivre sur Twitter: https://Twitter.com/BasedCongo #CriseCongolaise #PierreMulele #MobutuSesoSeko

Filmed report of a trip made of the journey in order to give people there an "ideological training". Peoples from the MRA force travel through the country in order to show films (large excerpts of the film "Freedom" are displayed in this film) and meet people. In Elizabethville (now Lubumbashi) they meet the President of Katanga, Moïse Tshombe. The Colwell brothers, being part of the trip, sing on some occasions including for the President (short excerpt in sync) Follow on Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #CongoCrisis #Katanga #ForcePublique

12ème semaine du drame congolais. A Léopoldville, le colonel Mobutu convoque la presse et lui annonce qu’il prend le pouvoir. S’appuyant sur la majorité de l’armée, le colonel forme un gouvernement composé de techniciens et d’universitaires. Il dénonce aussi documents à l’appui, l’ingérence soviétique dans les affaires du Congo. Mais Patrice Lumumba est toujours là, enfermé dans sa résidence gardée par les troupes des Nations Unies. Les ambassadeurs de Tchécoslovaquie et d’ URSS ont reçu un ordre d’expulsion. Les documents confidentiels flambent. Camionnette transportant malles et valises « station wagon » pour le personnel. Le drapeau rouge à marteau et faucille d’or descend du mât. Entouré des attachés, l’ambassadeur soviétique à Léopoldville. Dans les rues de la capitale congolaise, la tension continue de régner. De petits groupes de manifestants de l’ABAKO, parti du Président Kasavubu, tentent de franchir un barrage dressé par les forces des Nations Unies. Les troupes de l’armée congolaise qui semble avoir gardé la situation en mains, essayent aussi de calmer les manifestants. Suivez sur Twitter : https://twitter.com/BasedCongo #CriseCongolaise #MobutuSeseSeko #Congo

Congo année zéro de l’indépendance. Toutes les images qui nous en parviennent reflètent l’anarchie, dont la Force Publique est l’instrument, alors qu’elle aurait dû la rendre impossible. Aucune vexation n’est épargnée aux blancs, aux belges, considérés comme des ennemis. Exode tragique des européens, d’un territoire plus grand que l’Europe. Les plus chanceux peut-être furent ceux qui trouvèrent refuge immédiat de l’autre côté du fleuve à Brazzaville. Et pourtant, même là, quel pitoyable spectacle. Et que penser de ceux, isolés dans la brousse, fuyant par tous moyens vers les pays limitrophes. Voici un camp de réfugiés en Rhodésie. Voici les passagers d’un avion parmi tant d’autres, transportant des rescapés vers les bases principales d’évacuation. Tout cela pendant que les responsables congolais attisent les passions déchaînées au lieu de les apaiser. Ralph Bunch, secrétaire adjoint de l’ ONU, lui-même d’ascendance noire, s’efforce de ramener l’ordre. Il a réclamé l’aide de tous les pays pour pallier les besoins les plus urgents du Congo sur le plan matériel. Ici, des avions américains stationnés en Allemagne arrivent avec des appareils de secours. Entretemps, la Belgique a dépêché des compagnies de para-commandos. Les premiers arrivés à Léopoldville dégagent l’aéroport de N’jili. Consigne : protéger la vie de nos compatriotes, assurer leur évacuation en attendant l’intervention des casques bleus. L’opération est menée avec pleine efficacité. Les mutins sont désarmés. Les belges garderont le contrôle de la tête du pont aérien Léopoldville-Bruxelles. Pour des centaines de réfugiés en attente, c’est la sécurité du rapatriement. Après les heures d’angoisse, les premiers soins sont donnés aux blessés blancs et noirs assiégés dans l’aéroport et enfin délivrés. Les paras emportent les restes mortels d’une victime des échauffourées. Nos forces métropolitaines rétablissent la liaison entre l’aéroport et Léopoldville où elles sont accueillies avec soulagement dans le quartier européen. En certains cas, les commandos belges et des unités. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #CriseCongolais #GuerreDuCongo #CongoCrisis

In August 1964, in the central African country known today as the Democratic Republic of Congo, a militant rebel group called the Simbas seized nearly 2,000 U.S. and European citizens, many of them missionaries, and held them hostage in Stanleyville, a city they had just taken from government soldiers. On November 24 of that year, Belgian and American military forces mounted a dramatic airborne mission to rescue the hostages and crush the Simba rebellion. Though the mission succeeded, dozens of hostages were killed by the rebels before they could be freed. Follow on Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #CongoCrisis #Stanleyville #SimbaRebellion

Dès la première semaine d’Indépendance, le Congo sombre dans le chaos. La Force Publique, généralement considérée jusqu’alors comme l’ossature de la nouvelle République, s’est mutinée et se livre aux pires exactions. Les brutalités de la soldatesque noire se limitent d’abord aux autochtones, qu’opposent des rivalités tribales. Le Gouvernement Congolais ne reprend pas en main ce qui devait être ses « forces de l’ordre ». Leurs sévices s’étendront bientôt aux Européens. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #CriseCongolais #GuerreDuCongo #ForcePublique

Het zijn de goede en rustige jaren van de missie. Congo is dan nog een Belgische kolonie, waar met strakke hand de rust en orde wordt gehandhaafd. De Belgische autoriteiten leggen de missionarissen geen strobreed in de weg. Maar in 1960 verandert alles. Het land maakt zich los van België en wordt onafhankelijk. Het onafhankelijke Congo kent veel problemen. De nieuwe machthebbers komen hun beloftes niet na. Wanneer de jonge Udense pater Jan Verhoeven in 1963 naar dat land vertrekt is, zijn vader daar helemaal niet blij mee. Zijn zuster Mariet van Rooij-Verhoeven: "Hij was bezorgd. Hij wist dat het politiek daar niet zo lekker zat." In 1964 ontstaan in het hele land opstanden tegen het centrale gezag. De rebellen worden gesteund door het communistische Rusland en China. De rebellen in het noordoosten van Congo noemen zich Simba, wat leeuw betekent. Een woord dat kracht moet uitstralen en angst aanjaagt. De rebellen zijn veelal jonge jongens die ontevreden zijn met de sociale toestand in hun land na de onafhankelijkheid. Ze worden opgezweept door de opruiende toespraken van hun leiders die handig gebruik maken van het hardnekkige bijgeloof van de bevolking. Beschermingsrituelen geven de rebellen, die met alcohol en drugs in een roes worden gehouden, het gevoel dat ze onoverwinnelijk zijn. Onkwetsbaar voor vijandelijke kogels. In het hele land gijzelen de rebellen missionarissen en andere blanken om hun eisen kracht bij te zetten. Het is 20 Augustus 1964 als een vrachtwagen met opstandelingen de missiepost van pater Frans Waldram binnenrijdt: "Ze schreeuwden en brulden. Wij moesten allemaal naar buiten en onze kamers werden doorzocht op communicatiemiddelen. Ze dreigden met geweren." Alle paters, broeders en zusters die zich op de verschillende missieposten in het gebied bevinden worden door de rebellen naar de stad Bondo gedreven. Het is het begin van een maandenlange gijzeling. Pater Waldram: "Het zijn negen bange maanden geweest, ook in de maanden dat we goed werden behandeld. Er was vooral die grote onzekerheid: hoe gaat dit aflopen?" De missionarissen moeten van de rebellen aanwezig zijn bij zogenaamde volkstribunalen. Zuster Mien: "Wij moesten ook voor dat tribunaal komen. De mensen waar de rebellen iets tegen hadden zouden direct afgemaakt worden. Er werd aan de bevolking gevraagd: Is die zuster een goede? Heeft zij iets gedaan wat slecht voor u is? Anders gaan we haar direct doodschieten. Iedereen werd gevraagd of wij mochten blijven leven." De zusters en paters mogen blijven leven. Andere vermeende vijanden van de rebellen worden voor de ogen van de missionarissen geëxecuteerd. Zuster Mien: "Bij de eerste terechtstelling was de vader van één van de zwarte zusters. Hij werd beschuldigd van van alles en nog wat. Wij moesten er allemaal bijstaan, het hele dorp moest komen. En wanneer er iemand viel, dan moesten we allemaal zwaaien. Dan was er weer een vijand minder. Er zijn er die dag op die manier vijf afgemaakt." Ook de jonge pater Jan Verhoeven is aanwezig en schrijft in zijn dagboek: "Ik had nog nooit eerder mensen zien doodschieten en zeker niet zo. Ze worden doorzeefd. Ze stuiptrekken even en liggen dan stil in het gras." Er volgen vele huiszoekingen. Na de vondst van een Belgische vlag, worden de paters voor één nacht in de gevangenis opgesloten. Van het eigenlijke missiewerk komt niets meer terecht. Het seminarie en de school in Bondo worden door de rebellen gesloten. Pater Waldram: "Mishandeld zijn we gelukkig nooit. Maar we waren ontzettend bang." Het leger van Congo probeert de opstand de kop in te drukken en trekt samen met buitenlandse huurlingen op tegen de rebellen. Maar de operatie verloopt traag. Wanneer de rebellen dreigen alle blanken in het door hen gecontroleerde gebied, om te brengen organiseert de Belgische regering met hulp van de Amerikanen een bevrijdingsactie in de regionale hoofdstad Stanleystad. Alhoewel er ook veel Nederlandse missionarissen in het gebied zijn, laat de Nederlandse regering de bevrijdingsactie over aan de Belgen en doet verder niets. Ondanks hun gruwelijke ervaringen gaan pater Waldram en zuster Mien terug naar Congo. Pater Waldram vertrekt in 1967 en gaat werken op de missiepost van een van de vermoorde paters, zijn heeroom Filip Waldram. Hij blijft er twintig jaar. Ook Zuster Mien heeft heimwee naar Congo. Zij gaat in 1972 terug en werkt er tweeëntwintig jaar in de leprazorg. Ze spreekt nooit meer met de mensen in Buta over de moord op de missionarissen. Ze wil niet weten wat er precies is gebeurd, omdat het te gruwelijk is. Bovendien wil ze de mensen daar niet in verlegenheid brengen: “Zij voelen zich schuldig om wat er daar is gebeurd. Waarom zou ik haten? Ik hou van die mensen. Als het kon ging ik terug. Het is een mooi volk”. Meer details: https://anderetijden.nl/aflevering/380/Moord-op-missionarissen Volg op Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #SimbaOpstand #missionarissen #BelgischCongo

A quelques jours du 30 juin 1960, date de l'accession du Congo à l'indépendance, des Belges rentrés momentanément au pays sont bien conscients que leur situation au Congo ne sera plus jamais la même. Face à la caméra, ils témoignent de l'atmosphère qui règne dans les grandes villes et donnent leur avis sur cette indépendance, prématurée pour certains, formidable pour d'autres. Si certains sont confiants sur l'avenir, d'autres craignent pour leurs biens, leur vie et leur standing de vie. 9000000 du 19/06/1960 suivre sur Twitter: https://Twitter.com/BasedCongo #CongoBelge #Belges #indépendance

Bruxelles, le 16 juillet 1960, d'anciens colons manifestent contre la gestion par le gouvernement Belge de l'indépendance du Congo, appelant au maintien de la présence des troupes belges pour protéger les Belges qui n'ont pas encore quitté le pays. Suivez sur Twitter : https://twitter.com/BasedCongo #CriseCongolaise #Bruxelles #AnciensColons