MINISTÈRE DU DANGER PUBLIC (v. # 93)

2 years ago
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Pierre Coulombe (Le PROF)
Récupération politique du 6 décembre à POLYTECHNIQUE. https://www.youtube.com/watch?v=yF3jx-8q8MM&t=317s&ab_channel=StudioB

These Dreams - LIVE - https://www.youtube.com/watch?v=0DLeH2FWFTE&ab_channel=HeartVEVO

THESE DREAMS (Nancy Wilson - HEART- 1986)

Spare a little candle, Save some light for me
Figures up ahead, Moving in the trees
White skin in linen, Perfume on your wrist
And the full moon that hangs over
These dreams in the mist

Darkness on the edge, Shadows where I stand
I search for the time On a watch with no hands
I want to see you clearly, Come closer than this
But all I remember, Are the dreams in the mist
(ref.)
These dreams go on when I close my eyes
Every second of the night I live another life
These dreams that sleep when it's cold outside
Every moment I'm awake the further I'm away

Is it cloak 'n' dagger, Could it be spring or fall ?
I walk without a cut, Through a stained glass wall
Weaker in my eyesight, The candle in your grip
And words that have no form, Are falling from your lips

(ref.)

There's something out there…I can't resist
I need to hide away from the pain
There's something out there I can't resist

The sweetest song is silence, That I've ever heard
Funny how your feet, In dreams never touch the earth
In a wood full of princesses, Freedom is a kiss
But the princess hides her face, From dreams in the mist.

Paroles traduites : Pierre Coulombe (et adaptées à un narrateur masculin)
Paroles originales : Bernie Taupin, Martin Page

CES RÊVES. (Nancy Wilson - HEART- 1986)

Partage ta chandelle, garde-moi de la lumière
Silhouettes en hauteur, bougeant dans les arbres
Blancheur dans ton lainage, parfum sur tes poignets
Et la lune pleine qui survole ces rêves éthérés.

Entre chien et loup, ombres où je me tiens
Je cherche l’heure sur une horloge sans aiguilles
Je veux te voir en détail, approche-toi de moi
Mais tout ce qui me revient sont ces rêves éthérés.
(ref.)
Ces rêves prennent forme quand je ferme les yeux
Chaque seconde de ma nuit, je vis une autre vie
Ces rêves qui dorment quand il fait froid dehors
Chaque minute de mon éveil, me porte encore plus loin.

Est-ce la cape et l’épée, l’automne ou le printemps ?
Je marche sans me couper de par ce grand vitrail
Une image se brouille, la chandelle dans ta main,
Et les mots sans forme qui tombent de tes lèvres.
(ref.)
Une chose m’appelle… que je ne puis résister
Je dois m’éloigner de cette douleur
Une chose m’appelle… je ne puis résister

La chanson la plus douce est le silence à mes oreilles
Étrange que nos pieds ne touchent jamais le sol des rêves
Dans un bois princier, la liberté est un baiser
Mais la princesse cache son visage dans les rêves éthérés.

Paroles traduites et adaptées à un narrateur masculin

Ken Tamplin Vocal Academy : https://www.youtube.com/c/kentamplin

Les leviers du féminisme pervers narcissique systémique: (1) Le registre des armes à feu. (2) Les bracelets électroniques. (3) Les alertes AMBER qui ne servent presque seulement pour allerter la population contre des pères qui enlèvent leur bébé, lors de séparations de couples...

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