L'Enfer Californien - Et les Simpsons dans tout ça ?

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Et si l’enfer en Californie n’était pas un hasard ?

On connaît tous la Californie pour ses plages dorées, ses paillettes hollywoodiennes… et, malheureusement, ses incendies. Mais si ces flammes ravageuses n’étaient pas qu’une conséquence des sécheresses ou du réchauffement climatique, comme on nous le répète à longueur de journée ? Si, en creusant un peu – ou, dans ce cas précis, beaucoup – on tombait sur quelque chose de bien plus complexe, voire dérangeant ?

Les incendies en Californie : une fatalité naturelle ou une main humaine ?

D’abord, comme tout bon complotiste qui se respecte, je suis allé poser la question à ChatGPT. Est-ce que l’exploitation – ou l’arrêt – du gaz de schiste pourrait jouer un rôle dans ces incendies ? Et est-ce que des variations de température, comme celles qu’on observe en Californie, pourraient libérer plus de gaz dans l’air ?

La réponse de l’IA ? Une version très « politiquement correcte » :

Les incendies seraient dus à des facteurs comme la chaleur, la sécheresse, les vents violents, le réchauffement climatique et, bien sûr, l’action humaine – qu’elle soit volontaire ou accidentelle.
Concernant le gaz de schiste, ChatGPT m’explique que son exploitation ou son arrêt a peu de chances d’avoir un impact direct sur les incendies, même si l’industrie contribue au changement climatique en augmentant les émissions de gaz à effet de serre.
Quant aux variations de température, elles pourraient, au mieux, jouer un rôle mineur.
Rien de bien croustillant, n’est-ce pas ? Mais en creusant dans mes souvenirs, je me suis rappelé quelque chose : les eaux usées générées par la fracturation hydraulique.

Petit retour en arrière : en Californie, certaines entreprises de fracturation avaient pour habitude de déverser leurs eaux usées – bourrées de produits chimiques toxiques – directement dans les nappes phréatiques. Une pratique interdite, mais… pas partout. En juin 2015, des exemptions de surveillance ont été signées pour certains comtés, comme Kern ou Arroyo Grande.

Et là, les choses deviennent intéressantes. Ces eaux usées, c’est un cocktail explosif : métaux lourds, hydrocarbures, éléments radioactifs, et même des produits chimiques hautement volatils, Ces substances peuvent :

Contaminer les sols, les rendant incapables de retenir l’humidité et donc plus inflammables.
Libérer des gaz comme le méthane, qui accentuent le réchauffement climatique local et augmentent les risques d’incendies.
Créer des mélanges chimiques imprévus dans le sous-sol, amplifiant leur dangerosité.
Bref, un sol contaminé par ces substances devient une véritable bombe à retardement.

Et les Simpsons dans tout ça ?

Pour ajouter une touche « pop culture » à mes recherches, j’ai demandé à ChatGPT quel épisode des Simpsons parlait d’incendies. L’épisode 6 de la saison 11 montre un commissariat en flammes, mais avec de la neige partout. Pas très utile. En revanche, dans l’épisode 18 de la saison 12, on découvre un produit chimique particulièrement inflammable : l’éther.

Et devinez quoi ? En fouillant un peu, j’ai trouvé que l’éther – sous le nom de nonylphénol – fait partie des 500 à 1 000 produits chimiques potentiellement utilisés dans l’hydrofracturation. Pas tous en même temps, bien sûr, mais une fois injectés dans les sols, rien n’empêche des mélanges dangereux de se produire.

Conclusion : une petite recherche complotiste, ou un indice révélateur ?

Alors, est-ce que l’enfer californien pourrait être, au moins en partie, le résultat d’une mauvaise gestion des pratiques industrielles ? Entre la contamination des sols, les gaz libérés, et la négligence humaine, on peut se poser la question. Une chose est sûre : sous la surface des grands discours sur le changement climatique se cache peut-être une vérité bien moins reluisante.

Et toi, qu’en penses-tu ? Une coïncidence… ou un puzzle dont les pièces commencent à s’emboîter ?

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