Mireille Dumas la psy pute de FR3 a chamboulé la vie de Bruno Masure

Les parasites.

Un parasite entrera dans le corps social, va réussir a s’y fondre, l’infectera et nous donnera l’illusion de faire du bien.
Ayant l’apparence joyeuse, de bonne compagnie, le parasite sait se rendre populaire. Vivant grâce aux autres du fait de facultés limitées, il ne peut que vivre du sang de ses victimes puis il n’aura de cesse, sous couvert de camaraderie, d’envenimer les relations entre les gens, qu’elles soient d’ordre amoureux ou amical. C’est le prix de l’ascenseur social, le bonheur des autres, plus ils sont proches et plus son plaisir est évident. Dupes, ces derniers n’y verront que du feu, tant il sait admirablement leur servir la soupe.
Froids et mesquins, parfois hystériques, et surtout profondément destroys par nature, les parasites savent dissimuler leurs intentions et se donner un rôle en société qui ne correspondra pas à ce qu’ils distillent en tête à tête.
Selon la crédulité de l’interlocuteur, ils utiliseront le scalpel ou le canif, et ils prendront grand soin à ne point se faire prendre. Les hyènes se déguisent en agneaux, rares seront ceux s’apercevront de la supercherie.
Quand on regarde bien, ce qu’ils disent de moche touchera à peu près tout le monde. Il y a toujours a minima une cible dans leur collimateur, toujours quelqu’un sur qui médire. Notre parasite chie sur X auprès de Y et inversement, sans se donner l’air de s’engager dans un combat frontal. Il prendra des chemins détournés, sans jamais se dévoiler.
L’amour étant impossible, il conviendra, comme pour la véritable amitié, de le faire rompre. Il s’y prendra des par sous-entendus et par des propos sous cape, des insinuations, des conseils avisés ou des fausses mains tendues.
Le parasite saura attendre son heure, et ne pas y aller vite. Autour, personne ne se méfie et ne voit clair. Prudence ! Il est indispensable de ne pas se faire éjecter : être démasqué signifie déménager.
Comme le font les pervers narcissiques quand les cartes ont été jetées sur la table.
On peut les reconnaitre en s’intéressant de près à leur passé. Ils en parlent, notez-le bien, peu, et ne rentrent jamais dans les détails.
Quand on les questionne avec acuité à ce propos, que voit-on ? Que sur leur route ils se plaignent de bien des personnes qui leur ont fait du tort après les avoir aidés. Notre parasite aimera se poser en victime et cracher sur la main qui les a un temps secouru. Vérifiez, ils n’ont à leurs yeux jamais tort, et que des excuses. Ils geignent, ils se lamentent, ils se plaignent. O grand jamais ils ne s’attribuent de responsabilité.
On peut repérer dans leur biographie réinventée des zones d’ombres, des épisodes étranges sur lesquels ils glissent. Il y a dans les parcours de ces salopards des cadavres dans les placards et ils ne s’y attarderont point. Car ils craignent les témoins qui pourraient les dévoiler.
Ils se délectent de la gentillesse, ces maîtres du crachat par en-dessous qui se donnent des allures de gentils. Ils n’aiment personne et ils ne s’aiment pas davantage. Quant à leur vie affective, elle est une succession d’échecs patents.
Vous êtes leur raison d’être. Sans vous, ces sous-développés du bulbe n’existent point. La solitude les effraie, sans public ils ne sont rien.
Ils sont, regardez leurs actes, comparez-les à leurs intentions déclarées, les champions de la velléité. Dire faire ceci équivaut à le faire, et rarement vous trouvez un passage à l’acte, ils s’arrêtent toujours en chemin.
Disons-le : ces grandes gueules sont des seconds couteaux, juste bons à passer le balai ou à coder des programmes informatiques, des techniciens qui bavent devant les puissants tout en crachant sur les plus faibles.
Nés dans le trou, ils n’ont que dédain pour leurs origines et sont fascinés par le pouvoir auquel ils n’ont évidemment pas droit. Ce sont les princes des apparences et des esprits conventionnels.
Eternellement soumis à l’ordre établi, ces laquais déguisés en rebelles sont des lâches, peu outillés intellectuellement, ils sont trop médiocres pour réussir par eux-mêmes quelque réalisation un tant soit peu singulière. Ils préfèrent piquer la place du voisin et se pousser des coudes pour obtenir un avantage pour s’attribuer le travail fait par l’autre et les mérites qui vont avec.
A l’école c’étaient des fayots et des copieurs qui faisaient tout pour être délégués de classe.
Se croyant supérieurs, ils sont, c’est là leur talon d’Achille, foncièrement bêtes à bouffer du foin. Ils commettront la faute se retournant contre eux et qui dévoilera leurs petits stratagèmes.
En s’attaquant pas comme il faut à celui qu’il ne faut pas, ils creuseront leur tombe. Inconnus au bataillon il y a encore trois ans, ils prendront alors le risque sans le réfléchir de se faire littéralement humilier en public puis finalement expulser.
Ils repartiront ailleurs et referont la même chose sans en tirer de leçon. Leur nature le veut.
Un peu de Baigon rouge ou vert, et puis voilà.

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