💥🔥💥 Gloriane Blais, Message important au Président des États-Unis Donald Trump 100% French

1 month ago
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"Nous sommes le 17 novembre 2024.

Comme vous pouvez voir, je suis devant la Maison Blanche à Washington DC.

Je suis Gloriane Blais, ex-avocate et citoyenne canadienne

Je demande l’asile aux États-Unis d'Amérique, parce que je suis victime depuis 2020 de persécutions importantes, violentes, illégales et abusives de la part du système judiciaire canadien incluant du plus haut tribunal du Canada, la Cour suprême du Canada.

Cela a débuté en 2020, où à titre d’avocate je recevais un jugement frauduleux à l’issue d’un procès pour mon client, homme d’affaires très solide victime de corruption (abus de pouvoir) gouvernementale, contre une société d’État du gouvernement du Québec au Canada, une poursuite de mon client de 35 millions de dollars canadiens.

À la suite du jugement frauduleux, j’ai porté la cause devant la Cour d’appel du Québec, avec un appel de plein droit. La Cour d’appel du Québec a rejeté préliminairement l’appel, en refusant de regarder la preuve, en refusant illégalement d’attendre à l’étape du dépôt de la preuve.

J’ai alors déposé, en mars 2021, une Demande d’autorisation d’appel à la Cour suprême du Canada, afin que le plus haut du tribunal du pays réforme le jugement frauduleux rendu en faveur de la corruption gouvernementale. Dans toute l’histoire judiciaire canadien, c’était la première fois, qu’une partie non seulement alléguait un manque d’impartialité volontaire, mais en avait la preuve; j’ai déposé 14 volumes de preuve.

Avant que la Cour suprême du Canada rende leur décision, le juge en chef de la Cour supérieure du Québec, c’est-à-dire, le patron des juges de procès pour la province de Québec, déposa une demande d’enquête disciplinaire à mon encontre au Barreau du Québec, alors que j’avais déposé à la Cour suprême du Canada la preuve de mes allégués, alors que ce n’était pas l’avocate qu’on devait enquêter, mais plutôt le juge sous sa gouverne ayant rendu le jugement frauduleux.

En mai 2024, Me Daniel Gagnon pour le Barreau du Québec introduisit la
1re plainte disciplinaire à vie à mon encontre, sur la base de cette demande d’enquête du juge en chef de la Cour supérieure du Québec. Depuis cette date, le juge en chef de la Cour supérieure du Québec a démissionné, et Me Daniel Gagnon a avoué sous serment à deux reprises qu’il n’a jamais lu aucune page des 14 volumes de preuve (sauf mon mémoire de 20 pages qui sont mes allégués) !

Le 8 juillet 2021, la Cour suprême du Canada failli dans ses responsabilités constitutionnelles en rejetant ma Demande d’autorisation d’appel pour mon client. Toute la preuve de ce que je viens de nommer est, en français, via mon lien Docurium :
https://app.docurium.ca/d/7e9fa1400bbb40179f7d/

À la même date, soit le 8 juillet 2021, Me Daniel Gagnon pour le Barreau du Québec introduisit une 2e (et dernière) plainte disciplinaire à mon encontre concernant mes propos de printemps 2021 sur le vaccin Covid-19, à titre de lanceuse d’alerte et avocate experte en droit de la santé, et en responsabilité médicale et hospitalité. J’ai et je qualifie ce vaccin d’injection expérimentale, et lorsqu’on a commencé à vouloir inoculer les enfants, je l’ai nommé crime contre l’humanité, toujours à titre d’avocate. Il faut rappeler que ce vaccin était toujours en cours de phase 3 de l’essai clinique et est une nouvelle technologie jamais utilisée en population générale. On apprendra plus tard notamment énormément d’information, dont que le produit fut selon le processus manufacturier numéro 2 avec seulement 252 participants à l’essai clinique de Pfizer, car l’essai clinique de 44,000 participants fut sur le processus manufacturier numéro 1; conséquemment le produit distribué en population générale n’a pas subi d’essai clinique ! Pour ce, je vous réfère au livre en anglais de la biostatiscienne dans l’industrie pharmaceutique Christine Cotton, de France, dont je fais la Postface :
https://christinecotton.com/support-me

Les deux plaintes disciplinaires ont continué.

J’ai même introduit la 1re cause (demande de permission d’appeler) au niveau d’une cour d’appel au Canada, et à ma connaissance dans le Monde, sur l’injection expérimentale, soit le 1er novembre 2021. J’en parle dans la Postface du livre de Christine Cotton. J’ai plaidé sur cette Demande de permission d’appeler devant la Cour d’appel du Québec le 31 janvier 2022.

De plus, le procès pour la 1re plainte disciplinaire était fixé pour se tenir le 14 mars 2022; ils savaient tous que j’avais la preuve dans les 14 volumes de ma Demande d’autorisation d’appel (à la Cour suprême du Canada).

Le 3 février 2022, le Conseil d’administration du Barreau du Québec m’ordonna un examen psychiatrique sur la base des deux plaintes disciplinaires, sans m’informer de cette audience, sans m’y convoquer, sans me laisser la possibilité de déposer ma preuve, sans la possibilité de m’y présenter et me représenter !
J’ai refusé de me soumettre à cet abus de pouvoir, car lorsqu’on commence à se soumettre à de l’abus de pouvoir, on se nuit et surtout on nuit à la justice au sein de la société; notons que j’étais et je suis une lanceuse d’alerte très connue dans le Canada francophone. Conséquemment, j’ai refusé de me soumettre à cet examen psychiatrique totalitaire.

Le 10 mars 2022, le Conseil d’administration du Barreau du Québec illégalement et abusivement me radia de façon permanente, m’empêchait de pratiquer ma profession d’avocate et ferma mon cabinet privé. Voici mon mémoire de l’appelante et l’audition en appel devant le Tribunal des professions du Québec, une audience digne d’un régime totalitaire !
https://app.docurium.ca/d/a51890e587c14f09b80a/
L’enregistrement doit être transcrit pour être diffusé, mais je n’ai pas eu le temps de le faire faire. Toute personne peut le requérir au palais de justice de Montréal.

Le 14 mars 2022, le procès sur la 1re plainte disciplinaire eu lieu, où Me Daniel Gagnon avoua à nouveau ne pas avoir lu aucune page de la preuve des 14 volumes. Pourquoi a-t-il fait cet aveu ? Car, il préférait être accusé de négligence professionnelle au civil, que de faire partie légalement d’un crime. Le Conseil de disciplinaire du Barreau du Québec me déclara coupable et me radia pour 8 ans, le tout illégalement et abusivement.

J’ai fait appel à toutes les instances sur cette radiation, avec en mains les 14 volumes de preuve de ma Demande d’autorisation d’appel initiale à la Cour suprême du Canada de mars 2021, et chacune des instances a failli.

Toujours sur ma radiation, sur mon 1er dossier disciplinaire, j’ai déposé une nouvelle Demande d’autorisation d’appel à la Cour suprême du Canada, le 17 mai 2024, contenant maintenant 19 volumes dont les 14 volumes de preuve initiaux, que j’ai exceptionnellement aussi notifié à la Gouverneure générale du Canada Mary Simon et le Roi du Canada et du Royaume du Commonwealth Charles III :
https://app.docurium.ca/d/3a968e8bc095470cb4ad/

Le 12 septembre 2024, la Cour suprême du Canada failli à nouveau dans ses responsabilités constitutionnelles, et ni la Gouverneure générale du Canada, ni le Roi interviennent publiquement selon leurs responsabilités constitutionnelles de protéger le Canada et ses habitants contre la trahison.

Le 13 septembre 2024, je signa ma Plainte à l’encontre du Canada au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, Plainte reçue par courrier recommandé le 20 septembre 2024 :
https://app.docurium.ca/d/5d65ff88c6a649fa896a/

À ma connaissance, je suis le seul avocat ayant été radié de son ordre professionnel dans tout l’Occident, pour les propos que j’ai tenus, car les avocats sont les différentes voix ou porte-voix au sein d’une société libre et démocratique (occidentale).

Tous les avocats dans la province de Québec connaissent ma situation et les persécutions dont j’ai subies. D’ailleurs, en 2022 et aussi en 2023, je suis dans les articles les plus lus du magazine pour les avocats Le Droit Inc.

https://t.co/z436jh8taM
https://t.co/mq5fEg6uiR

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