Le document final du Synode sur la synodalité : la route vers l’enfer

16 days ago
127

Regardez cette vidéo sur : https://vkpatriarhat.org/fr/?p=18171

Abonnez-vous aux newsletters du PCB https://bit.ly/3Ozi9Rt

Le 26 octobre 2024, le document final du Synode sur la synodalité a été adopté. Sa terminologie charismatique est entrelacée de formulations vagues et de termes ambigus. Il est difficile d’en déduire le véritable contenu. Cette méthode de termes ambigus a également été utilisée lors du Concile de Vatican II. Son but consiste à cacher la véritable intention destructrice de ce document, et d’en déguiser le contenu hérétique.
Ce Synode sur la synodalité est le fruit final du Concile hérétique de Vatican II.
Que dit l’Esprit à l’Église ? Le chemin synodal est le chemin de l’apostasie, qui aboutit à la damnation éternelle. Mon peuple, sortez de la Babylone de Bergoglio !
Quelle est l’essence du document final de 52 pages du Synode ? Mettre en marche un processus de révolution permanente afin de déraciner tous les dogmes sur lesquels l’Église a été construite. Le principe du changement de paradigme a déjà été inscrit avec autorité dans le motu proprio Ad theologiam promovendam du 1er novembre 2023. Il signifie l’abolition progressive des commandements de Dieu, de la tradition de l’Église, de la structure hiérarchique et la légalisation du péché scandaleux de la sodomie et, par conséquent, de tous les péchés. Les plus hauts pouvoirs dans la gestion de l’Église sont confiés aux soi-disant conseils pastoraux, c’est-à-dire principalement à des laïcs LGBTQ et à des féministes arrogantes. Ce processus s’accompagnera de l’abolition progressive du célibat et de l’introduction de l’ordination des femmes en tant que diacres, prêtresses et évêques. Cette révolution antichristique doit être mise en œuvre en premier lieu par les laïcs LGBTQ et leurs partisans sur le principe du suicide programmé de l’Église catholique. Le document final du synode est de facto l’Instrument de travail de ce suicide. Il a reçu l’autorité du magistère.
Tout cela est possible parce que la hiérarchie ne veut pas reconnaître le fait que Bergoglio est un usurpateur de la papauté et qu’il abuse de la plus haute fonction afin de détruire l’Église. L’apostasie massive des prélats catholiques constitue le problème principal et scandaleux, et pas seulement Bergoglio. Cette hiérarchie aveugle et traîtresse de l’Église aide docilement au suicide, en faisant appel, de façon hypocrite, à la soi-disant obéissance au Saint-Père et à la prétendue fidélité à l’Église et au Christ. Cet aveuglement spirituel et cette rébellion contre Dieu confinent déjà aujourd’hui au Saint-Esprit, ou dans le cas de beaucoup, c’est un péché pur et simple commis contre l’Esprit Saint.
Un signe visible de cette apostasie des catholiques est qu’ils ne voient pas l’apostasie de Bergoglio ou qu’ils l’acceptent. Cela s’applique non seulement aux évêques, mais aussi aux prêtres et aux fidèles. Ils ont embrassé l’esprit du monde et l’anti-évangile sodomite avec sa bénédiction du péché de sodomie, et il s’agit d’une apostasie publique du Christ. Ils boycottent et rejettent la repentance salvatrice. L’exigence de suivre le Christ et Sa voie de salut leur est étrangère. Ils ont déjà adopté le chemin synodal de Bergoglio qui mène à la damnation éternelle.
Rappelons au moins les manifestations flagrantes de l’apostasie de Bergoglio pendant son pontificat usurpé. Avec le geste d’embrasser les pieds d’un transsexuel, il a approuvé le transsexualisme anti-humain. Dans l’exhortation hérétique Amoris laetitia, il a abrogé des normes morales objectivement valables. À ce jour, il n’a pas répondu aux dubia des cardinaux. Il a fait campagne de manière criminelle en faveur d’une vaccination expérimentale à ARNm qui a eu des conséquences désastreuses. Il a formé une alliance spirituelle et immédiate avec les élites et leur programme de diabolisation et de dépopulation (par exemple, l’Agenda 2030). Il a intronisé le démon Pachamama dans la basilique Saint-Pierre au Vatican et s’est consacré à Satan au Canada, reniant ainsi le premier commandement. Avec la déclaration doctrinale Fiducia supplicans, il a introduit la légalisation et la bénédiction des unions sodomites, le péché de sodomie. Ce faisant, il a rejeté le Décalogue et le Credo et a transformé l’Église catholique en une anti-Église du Nouvel Âge.
Le document final du Synode sur la synodalité déclare que « dans une Église synodale, l’autorité de l’évêque, du Collège épiscopal et de l’évêque de Rome en matière de prise de décision est inviolable ». Cette déclaration révèle la méthode utilisée par Bergoglio. Cette déclaration satisfait les catholiques. Il n’y a qu’un petit ajout : « un tel exercice de l’autorité [épiscopale] n’est cependant pas sans limites ». Voici à quoi cela ressemble dans la pratique dite pastorale : Bergoglio va établir exactement le contraire. En particulier, il établit ce que l’on appelle des conseils pastoraux, qui sont dotés de pouvoirs suprêmes et éliminent la structure hiérarchique épiscopale. Un exemple est l’Allemagne, où ce n’est plus l’évêque qui possède le plus grand pouvoir dans l’Église, mais le soi-disant conseil synodal composé de membres laïcs pro-LGBTQ.
Dans l’exercice de l’autorité, le document donne la parole aux laïcs, en particulier aux femmes. Il préconise même une plus grande participation des femmes à la formation du clergé et une plus grande implication des femmes dans la prise de décision effectuée au sein de l’Église. Cela signifie, par exemple, qu’une femme peut être administratrice d’une paroisse ou d’un diocèse. Cela s’applique implicitement aussi à l’autorité suprême de l’Église, la papauté. Le document affirme : « Il n’y a aucune raison ni aucun obstacle qui devrait empêcher les femmes d’exercer des rôles de direction au sein de l’Église ». C’est un mensonge. La Parole de Dieu dit clairement qu’une femme doit rester silencieuse dans l’Église. Cela signifie qu’une femme ne peut pas avoir de place dans la direction de l’Église. Une femme ne peut pas recevoir le sacrement de l’ordre sacré, qui comprend trois degrés : le diaconat, le sacerdoce et la plénitude du sacerdoce – l’épiscopat. Une évêque suédoise non catholique mariée à une lesbienne constitue un cas effrayant. Aujourd’hui, cependant, selon la déclaration Fiducia supplicans, l’Église catholique bénit de telles unions !
La femme possède un rôle important dans l’Église, tout comme dans la famille, où l’homme est la tête et la femme le cœur. Tout au long de l’histoire, des femmes sont intervenues dans la vie de l’Église, que ce soit sainte Catherine de Sienne, sainte Thérèse d’Avila ou d’autres. Mais elles n’ont pas agi sur la base d’une fonction ecclésiastique, mais sur la base d’un ministère prophétique. Dieu a parlé à travers elles et l’Église catholique a accepté cette voix après discernement. Aujourd’hui, Bergoglio utilise à mauvais escient le concept de discernement pour promouvoir les hérésies, le péché et les perversions morales.
On dit que question de l’admission des femmes au diaconat reste ouverte, et ce soi-disant discernement est censé se poursuivre.
Jorge Bergoglio est ici avec la permission de Dieu afin d’exposer une métastase cancéreuse présente au sein de l’Église. Aujourd’hui, même si Bergoglio démissionne volontairement, cela n’aidera pas à arrêter le processus suicidaire, car la structure officielle de l’Église est apostate. La vraie réforme doit donc provenir d’en bas, des fidèles, à travers les prêtres et les évêques. La condition (pour cette réforme) est la vraie repentance. La vérité doit être appelée vérité, l’hérésie doit être appelée hérésie, et le Concile de Vatican II, dont la voie synodale est le fruit, doit aussi être appelé hérétique. L’Église doit être un moyen de salut et non, comme nous le voyons aujourd’hui, un moyen de damnation ! Les vérités premières doivent être mises en premier. Il s’agit avant tout du salut des âmes, qui est impossible sans conversion personnelle, repentance et suite du Christ. C’est la vraie voie du salut, et non le chemin suicidaire synodal de Bergoglio qui mène à la destruction éternelle. Bergoglio a pratiquement convaincu toute l’Église catholique de ne plus être catholique ni chrétienne parce qu’elle ne s’oppose pas à ses hérésies et reconnaît publiquement un hérétique en tant que vicaire du Christ. Cette métastase profonde imprègne toute l’Église catholique.
Quelle est la solution ?
L’essentiel est de revenir à la prière régulière. Les catholiques doivent réserver un temps fixe pour la prière – que ce soit trois rosaires par jour ou d’autres prières chrétiennes. Pour que l’Église soit restaurée et que la famille reste une famille, la prière quotidienne régulière en famille est une nécessité absolue. La pratique a montré que le moment le plus approprié est celui de 20 à 21 heures. Si une personne ne prie pas et ne se repent pas, tôt ou tard elle perdra la foi salvatrice. De nombreux saints l’ont répété : celui qui prie sera sauvé ; celui qui ne prie pas sera condamné.
Que dit l’Esprit à l’Église ?
Le chemin synodal est le chemin de l’apostasie, qui aboutit à la damnation éternelle. Mon peuple, sortez de la Babylone de Bergoglio !

Loading comments...