"C'EST L'EXTRÊME-DROITE FASCISANTE" ! LES RÉSULTATS DE LA PROPAGANDE ANTI-TRUMP | GPTV INVESTIGATION

Cette vidéo a été réalisée avant les résultats de l'élection, capturant ainsi les impressions et réflexions des Français à un moment crucial de la campagne.

En France, les médias mainstream semblent s’accorder à dépeindre Donald Trump comme un ennemi politique extrême, utilisant parfois des comparaisons douteuses. Tandis que Kamala Harris est perçue comme une figure progressiste, la réalité des enjeux électoraux est souvent simplifiée, voire déformée. Beaucoup de Français ne suivent les élections américaines qu’à travers le prisme médiatique, et cette propagande anti-Trump a un impact significatif : Trump est fréquemment assimilé à l’extrême droite, une analogie abusive qui influence les perceptions.

Les médias jouent sur la peur pour discréditer Trump tout en renforçant un soutien sans nuance à Harris. Pour certains, Harris incarne une Amérique qui penche vers une politique de gauche extrême, à la limite du communisme. De l'autre côté, Trump est vu comme un patriote qui n’a rien à prouver : milliardaire, il n’a pas besoin de la présidence pour asseoir son pouvoir.

La stratégie des médias occidentaux est claire : en présentant Trump comme un épouvantail, ils orientent les opinions et incitent à voter contre lui plutôt que pour Harris. Cette tendance dépasse largement le cadre américain et s’étend à l’international, y compris en France, où les clichés et préjugés autour de Trump sont omniprésents. Des termes comme "dictateur" ou des références à Hitler renforcent une image caricaturale qui détourne l'attention des véritables enjeux. La campagne de Harris ne repose pas sur un soutien massif, mais sur une opposition virulente à Trump.

Cette propagande ignore souvent les propositions de Trump, qui cherche à œuvrer pour la paix avec la Russie et l’Ukraine, se positionnant en contraste avec Harris, qui soutient le financement de la guerre en Ukraine. De nombreux adversaires préfèrent considérer cet argent comme un “soutien” à l’Ukraine, une notion qui révèle l’efficacité du marketing médiatique occidental.

Pour Trump, l’Amérique doit cesser de jouer le gendarme du monde en maintenant des conflits coûteux. Il préconise un désengagement militaire pour recentrer l’attention sur la reprise économique nationale. Sa vision, loin des stéréotypes de l’extrême droite, aspire à une Amérique pacifique et moins interventionniste. En revanche, l’agenda de Harris semble plus interventionniste, avec un soutien à des projets coûteux pour l’économie américaine, souvent critiqué pour ses similarités avec une vision communiste.

L’enjeu de cette élection est donc bien plus complexe que l’opposition simpliste entre pro-Harris et pro-Trump. De nombreux partisans de Harris votent non pas pour elle, mais contre Trump, ce qui pourrait avoir des répercussions sur la stabilité de l’Amérique et son rôle international. Alors que certains souhaitent un retour à l’équilibre, d’autres craignent que l’économie et la diplomatie américaine ne continuent de se diriger vers l’inconnu.

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