The Jacobite's treason of the Berbers.

9 months ago
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Tableau par E. Delacroix, 1845. Sultan Haj Abderrahman ben Mohammad ben Abdallah ben Ismail al-Aji entouré par ses garde du corps et ses officiers principales. Il sortait de son palais à Meknès, mars 23, 1832. (see Part IV)

Courtoisie du Musée des Augustins, Toulouse

Pour une explication sur la différence de noms voyez :

Sharif Haj Abderrahman ben Muhammad
ben Abdallah ben Ismail al-Aji, ca. 1778 ou 1789-1859 -

était connu de vous depuis 1860 sous le nome de :

Alaji Abderrahman ben Mohammad ben….

ou

Alaoui Abderrahman ben Mohammad ben ….al-Aji, un Chérifien

Ref: www.douane.gov.ma/Histoire_douane/GLOSSAIRE.htm

Abderrahman a eu plusieurs fils, que j'ai pu nommer:

(Portrait: see Part IV)

Sharif Sidi Muhammad IV ben Abderrahman ben
Muhammad ben Abdallah ben Ismail al-Aji, ca. 1803-1873 - ???

à mon père, à moi, à mes frères et proche cousins.

Par Horace Vernet. Les français ont guidé un chef résistant, Abd al-Qadir, au Maroc, et le sultan a supporté le héros musulman en public.
La guerre s’est déchenée entre le Maroc et la France en août 1844. Dans les frontière Algérienne, à Wadi Isly auprès d’Oujda, 30,000 hommes ont été mené par Sidi Mohammad ben Abderrahman, le fils du sultan. Ils ont été déroué par 11,000 troupeaux français. Le Jaysh Cherarda a été brisé par le feu pillant le camp marocain pendant qu’ils se sauvaient. Cf: Pennell, Morocco sinces 1830, p. 49.

A cause de nombreuse manipulations continues provenant des pays de l’Ouest contre ma famille et le royaume, on devenaient anonyme vers la fin du 19ème siècle pour sécuriser et garantir la survie minime du membre de la famille qui restait.

Les livres écrits sur l’histoire du Maroc
La plus par des historiens, si ce n’est pas tous, sont des proches des ex-familles Sionistes de marchants du sultan = nommés « Tajer Assoltane » d’Essaouira ou d’autres villes du Maroc. Ils ont travaillé pour ma famille et pour le royaume dans le pays et à l’étranger.
Chaque années, ses Tajer Assoltane on reçu une grande somme d’argent du trésor (Makhzen) du sultan – sans intérêts et sans risque personnel pour les marchants.
On leur louait des maisons, des magasins et des facilités d'entre dépôt a un loyer très modeste sur l’ordre du sultan. En plus, Ils étaient permit d’importer et d’exporter des marchandises à des taxes favorable et était exclu d’une taxe nommé « Jizya ». Ses marchants devraient juste continuer à acheter de la marchandise dont le pays avait besoin et faire des affaires avec les Européens. Au lieu de cela, les Tajars Assoltane Juifs ont immédiatement gagné une confiance absolu des sultans qui leur permet de se faire une immense richesse et ainsi d’établir un mécanisme commercial en commençant par une banque qui donnait des prêts capitaux nécessaires envers leur sujet. Et quand leurs marchants sont de retour avec la marchandise, ils sont obligé de payé les intérêts sur la somme prêter, plus une commission pour le Tajar Assoltane. Le même Tajar Assoltane recevait une autre commission de la part du sultan quand il fessait les comptes avec lui. Et quand le sultan demandait au Tajar Assoltane de vendre des marchandises particulieres à l’Europe, la même tactique a été répétée, sauf que cette fois si l’argent restait en Europe. Ils amenaient avec eu juste l’argent absolument nécessaire pour garde la confiance du sultan et pour leur vie quotidienne.

En plus, certain entre ses Tajar Assoltane travaillait en même temps pour des pays étrangers en fonction de Consul. Ainsi, ils sont devenu des protégées des puissances étrangères!!! C'est claire que dans de telles circonstances ses Tajar Assoltane avait que leur futures intérêts en vue et certainement ne protéger pas les intérêts du Sultanat.

Dans la même phase une autre forme de revenus était créée, par exemple : à chaque fois que quelqu’un réclame qu’un Tajar Assoltane a des dettes en dehors du Maroc, le pays Européen réclame des réparations de la part des sultans. Cela était fait, la plus par du temps, par la force et la présence militaire ainsi les sultans n’avaient pas le choix que de payer.

A un certain temps, la Grande-Bretagne, la France, l’Espagne, la Suisse et le Maroc avec leur historiens, ont été obligés d’intégrer leur faux monarque dans l’ancienne histoire des Nobles Princes Chérifiens assurant ainsi que le monde entier ne découvrira jamais leur crime. Pour cela ils n’avaient même pas hésité de falsifier la vraie orthographie,
l’écriture, traduction et l’interprétation de notre nom :

Ils prétendent : al-Alj, al-Elj, al-Eldj, al-Eulj, al-Ulj, al-Ilj

même si le site-web marocain du tourisme a clairement mentionné:

« Laalaj » = al-Aji ( voir partie III)

Par contre, ils vous ont fait croire que les inscriptions sur les portes de Meknès et Essaouira se lisent :

« Renégade » = C’est complètement faux !!!! (voir partie III)

Ils vous enseignent cela juste pour une raison : 1. vous induire en erreur. 2. falsifier la légitimité du trône et ainsi recevoir l’accès légitime a l’héritage des Nobles Princes Chérifiens al-Aji.

Par exemple voir :
Meknés : Construite par le Sharif Ismail. Achèvement du fameux
Bab al-Mansour Laalaj par son fils,
Sharif Abdallah ben Ismail al-Aji en 1732.

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