Adolf Hitler - Wer bin ich ? - VOSTFR [Flokossama]

Compagnons de Parti et Compagnons de route ! Mes Camarades !
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Lorsque nous sommes entrés dans la vie politique de la Nation, nos noms étaient inconnus. La plus grande partie d'entre nous - moi en tête - n'appartenait même pas à un parti. La plupart d'entre nous avaient été soldats et étaient revenus de la Grande Guerre avec la rage ou le désespoir dans le cœur.
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Commença alors une période de souffrance et de misère, et par conséquent de désespoir, au sein de notre peuple. Il y avait bien des gens à l'époque qui n'avaient plus du tout envie de vivre. Le nombre de suicides a augmenté jusqu'à plus de 20.000 par an. Pour la plupart, la vie ne semblait plus être souhaitable car elle n'offrait aucune perspective de retrouver un jour l'égalité des droits et donc de recouvrer la liberté du peuple allemand.
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C'est à cette époque que notre combat a commencé. Ce fut un magnifique combat, parce que ce fut un combat qui a été mené contre toutes attentes. Lorsque je me suis produit pour la première fois dans cette ville et que nombre d'entre vous, qui êtes ici aujourd'hui, ont commencé à me suivre, j'ai été abandonné même par mes meilleurs amis. On ne pouvait même pas comprendre comment un homme qui, par ailleurs, était censé, voulait tout à coup se mettre en tête de combattre seul contre tout un monde de réalités. On se disait : Que veut ce vermisseau de malheur ? Il n'a tout simplement pas d'argent ni de nom ; il n'a même pas un seul journal derrière lui, il n'a pas de parti politique. Il a contre lui tout ce qui existe. Il veut combattre contre tous. Il veut combattre les exploitants, et il veut tout autant combattre les prolétaires. Il veut combattre contre l'actuel Empire démocratique, mais aussi contre ses pays. Il veut combattre contre toutes ses confessions. Il veut combattre contre la société organisée, telle que nous la possédons aujourd'hui, le Capital, mais tout aussi bien contre ses organisations syndicales. Il n'y a absolument rien que cet homme ne veuille pas combattre. Il veut construire un nouvel État, une nouvelle société, et il n'a absolument personne derrière lui. Un fou furieux qui entreprend de sortir seul et de déclarer la guerre à toute une majorité très soudée dans tous les domaines !
Ce n'était pas si simple, ce combat, et pourtant les succès commençaient progressivement à se faire ressentir. C'est contre la méthode du silence radio, contre la méthode de ridiculisation, de dérision, puis contre le flot de mensonges et de calomnies, et enfin contre la terreur, que le jeune mouvement a commencé à s'imposer.
Vous en avez tous fait l'expérience. Vous êtes venus me voir en particulier à l'époque. Les uns en 1919, d'autres en 1920 et 21. Et vous avez tous eu à l'époque le sentiment intime que nous allions malgré tout gagner ce combat pour le pouvoir en Allemagne. Cela peut sembler difficile. Ce qui parlait en notre faveur, c'est la raison, c'est l'exactitude de nos principes, c'est la reconnaissance du fait que l'État actuel ne pouvait plus être maintenu, que ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne se brise d'une manière ou d'une autre. Mais c'est aussi le sentiment de la nécessité d'une réévaluation de nombreux concepts.
C'était finalement aussi une croyance - je dirais presque - « mystique » dans l'immortalité de notre culture nationale, une culture nationale qui aurait pourtant été détruite si elle avait été maintenue dans cette situation.
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Nous allons rétablir à nouveau une Allemagne d'honneur, de pouvoir, de puissance et de gloire. Nous ne laisserons pas cela nous échapper. L'Allemagne se doit de ressusciter, d'une manière ou d'une autre. Et c'est dans cet esprit que nous avons combattu à l'époque, c'est dans cet esprit qu'ils ont succombé, c'est dans cet esprit que le combat s'est ensuite poursuivi, et c'est dans cet esprit que nous nous tenons aujourd'hui debout face à l'autre monde et que nous imposerons ce pour quoi ils ont succombé. Ils pensent pouvoir détruire cette Allemagne. Ils se trompent ! C'est de ce combat que renaîtra l'Allemagne !
Extraits discours Adolf Hitler. 8 novembre 1940 Munich

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Et pour cela, je ne veux connaître à l'avenir qu'un seul commandement ! Celui qui m'a engagé depuis que je suis devenu un jeune homme pensant ! DEUTSCHLAND !
Extrait discours Adolf Hitler (peut-être en 1934)