McKinsey & Cie; La firme qui tire les ficelles de la vaccination! - Qu'en est-il des victimes?

1 year ago
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En Ontario...si proche du Québec!
Vaccination contre la Covid-19 : ne laissons pas les victimes dans l’oubli
N'oublions JAMAIS ce qu'ils ont fait...
Depuis le début de la pandémie, le gouvernement du Québec nous répète que la vaccination est la seule solution pour sortir de la crise sanitaire. Il nous assure que les vaccins sont sûrs et efficaces, qu’ils ont été approuvés par les autorités compétentes et qu’ils sont basés sur des données scientifiques solides. Il nous incite à nous faire vacciner le plus vite possible, en nous promettant des avantages et des privilèges, en nous menaçant de restrictions et de sanctions, en nous faisant culpabiliser et en nous faisant peur.
Mais qu’en est-il des victimes de la vaccination ? De ces personnes qui ont subi des effets secondaires graves, parfois irréversibles ou mortels, après avoir reçu une injection expérimentale, dont les effets à long terme sont inconnus, et qui n’ont pas été informées des risques qu’elles prenaient ? De ces personnes qui ont été forcées de se faire vacciner pour garder leur emploi, pour pratiquer leur sport, pour voyager ou pour étudier ? De ces personnes qui sont ignorées, abandonnées, méprisées par le système de santé, par le gouvernement, par les médias et par la société ?
Ces victimes existent. Elles sont nombreuses. Elles souffrent. Elles ont besoin d’aide. Elles ont droit à la reconnaissance, à la justice, à la réparation. Elles ne doivent pas être sacrifiées sur l’autel de la vaccination de masse, au nom d’un bien commun hypothétique, d’une immunité collective incertaine, d’une liberté conditionnelle.
Je connais l'une de ces victimes. Elle s’appelle Carole. Elle a reçu le vaccin AstraZeneca en avril 2021, alors qu'il était encore recommandé par le gouvernement, voir encouragé, malgré les cas de thromboses signalés en Europe.
Vingt jours après sa vaccination, elle a commencé à ressentir des douleurs intenses, une paralysie partielle du visage, une perte de goût, une sensibilité au bruit. Elle a beau consulté plusieurs médecins, mais aucun n’a voulu la prendre en charge, juste bon à lui prescrire des médicaments pour calmer mes symptômes.
Depuis qu'elle a appris qu'elle souffrait d’une paralysie de Bell, causée par le vaccin, elle vit un enfer. Elle ne peut plus travailler, ni sortir, ni sourire. Elle est isolée, déprimée, désespérée. Elle n'a reçu aucune indemnisation, aucune aide, aucune compassion comme bien d'autres. Elle est seule face à son calvaire.
Elle n'est pas la seule. Il y a aussi Sean, un adolescent de 17 ans, qui est mort un mois après avoir reçu le vaccin Pfizer, pour pouvoir jouer au hockey. Il avait des cernes bruns, une éruption cutanée, une douleur à l’épaule. Son père, Dan, a contacté un pathologiste américain, qui lui a confirmé que le vaccin avait provoqué une hypertrophie cardiaque chez son fils. Il veut poursuivre en justice la ligue de hockey qui exigeait que son fils soit vacciné, ainsi que d’autres organisations. Il a lancé une campagne de financement participatif pour payer ses frais juridiques. Il pleure tous les jours la perte de son fils.
Et il y en a tant d’autres. Des cas de myocardites, de thromboses, de paralysies, de décès, liés à la vaccination, qui sont rapportés sur les réseaux sociaux, mais qui sont occultés par les médias, niés par les autorités, minimisés par les experts. Des victimes qui n’ont pas accès à un programme d’indemnisation, qui est pourtant prévu par la loi, mais qui est si complexe, si restrictif, si lent, qu’il en devient inutile. Des victimes qui n’ont pas de voix, pas de soutien, pas de défense.
Nous ne pouvons pas accepter cette situation. Nous devons nous mobiliser pour faire respecter les droits des victimes de la vaccination. Nous devons exiger du gouvernement qu’il reconnaisse leur existence, qu’il les indemnise équitablement, qu’il les accompagne dans leur guérison. Nous devons dénoncer l’omerta médicale, qui empêche les médecins de signaler les effets indésirables, de les traiter, de les documenter. Nous devons contester la vaccination obligatoire, qui viole le consentement libre et éclairé, le droit à la santé, la liberté de choix. Nous devons réclamer la transparence, l’information, la responsabilité.
Nous sommes des victimes, mais nous ne sommes pas des cobayes. Nous sommes des citoyens, mais nous ne sommes pas des moutons. Nous sommes des humains, mais nous ne sommes pas des chiffres. Nous méritons le respect, la dignité, la solidarité. Nous ne voulons pas être oubliés, ni sacrifiés. Nous voulons vivre.

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