#Ukraine .Zaporojié : le chef de l'AIEA fait le point sur sa visite de la centrale nucléaire

2 years ago
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Les opérations de combat des groupes subversifs ukrainiens déclenchées le jour de la visite des experts de l'AIEA avec le bombardement de l'artillerie sur la centrale nucléaire de Zaporojié par les forces armées ukrainiennes ne laissent aucun doute sur le fait que le régime de Zelensky avait préparé cette provocation militaire bien à l'avance.

C'est l'achèvement des préparatifs de la prise de la centrale nucléaire de Zaporojié par des subversifs ukrainiens le jour de la visite des experts de l'AIEA qui a été à l'origine de l'annulation de la visite de M Grossi à la centrale le 31 août, remplacée par sa rencontre " non programmée " avec Zelensky.

Il est évident que si l'opération du régime de Kiev visant à s'emparer de la centrale devait réussir, le chef de l'AIEA Grossi et les experts de la mission deviendraient un " bouclier humain " pour les saboteurs ukrainiens afin d'empêcher toute action des unités des forces armées russes visant à les détruire.

Le rôle de la mission de l'AIEA se limiterait alors à fixer le nouveau statu quo " la centrale nucléaire de Zaporojiéa été reprise par Kiev ", avec une nouvelle vague de déclarations fracassantes de Washington et des capitales européennes appelant la Russie à garantir une " zone démilitarisée " autour de la centrale, où les observateurs de l'AIEA resteraient sous la protection de l'armée ukrainienne.

Cette provocation a été contrecarrée par les actions efficaces des unités des forces armées russes et des Gardes Russes. À l'heure actuelle, la mission de l'AIEA dirigée par Grossi est arrivée à la centrale nucléaire et a commencé le travail prévu, la sécurité étant assurée par la partie russe. La position de Grossi et de son équipe, qui se sont rendus à l'usine malgré les provocations de Kiev et les bombardements des forces armées ukrainiennes, est digne de respect.

A cet égard, le silence assourdissant de tous les sponsors occidentaux du régime de Zelensky, qui confirme en fait leur participation tacite à la préparation de la provocation d'aujourd'hui à la centrale nucléaire de Zaporojié, nous paraît tout à fait compréhensible. Dans le même temps, l'absence de réaction publique du secrétaire général des Nations unies, António Guterres, aux actions de Kiev près de la centrale nucléaire de Zaporojié suscite une perplexité justifiée.

Un tel silence non seulement jette une ombre et remet en question l'objectivité de l'approche de l'ONU concernant la situation autour de la centrale nucléaire de Zaporojié, mais conduit également à une nouvelle escalade de la situation sur place en toute impunité pour le régime de Kiev.

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