Belgian Ruanda-Urundi (1922 - 1962)

Au moment du voyage royal, le Roi Baudouin n'avait que 25 ans et venait d'être intronisé, depuis environ 4 ans, cinquième Roi des Belges, suite à l'abdication de son père, Léopold III, le 16 juillet 1951. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #VoyageRoyal #RuandaUrundi #BwanaKitoko

«Bwana Kitoko» était apprécié partout sur le continent Africain Le roi Baudouin a découvert l'Afrique en 1955, lors de son premier voyage au Congo belge. Depuis longtemps, il accumulait toute documentation concernant nos territoires d'outre-mer. Pendant près d'un mois, du 16 mai au 11 juin, il accomplit un tour complet de la colonie et visita aussi le Ruanda et l'Urundi, territoires dont la tutelle avait été confiée à la Belgique par la Société des Nations, mandat confirmé par l'ONU. Ce voyage fut pour le jeune monarque une véritable révélation. Durant les dix mille kilomètres qu'il parcourut, il reçut un accueil véritablement délirant de la part des populations, s'intéressant particulièrement aux conditions de vie des auto-chtones, s'entretenant longuement avec les plus humbles et se penchant vers les plus déshérités. Sa jeunesse souriante, sa sympathie rayonnante et spontanée lui valurent d'être appelé «Mwana Kitoko», ce qui veut dire en lingala «le bel enfant», surnom qui devint dans la légende «Bwana Kitoko», «le beau chef». L'avion royal, un DC-6, qui s'était envolé de Bruxelles la veille à 17 heures, atterrit à N'Dolo le lundi 16 mai, à 10 heures. Le Roi en descendit vêtu d'un uniforme blanc et fut accueilli par le gouverneur général Petillon et par le vice-gouverneur général Cornélis, coiffés l'un et l'autre du casque auréolé de plumes d'autruche blanches. La première main noire que le Roi serra fut celle d'une petite fille de cinq ans dont les larmes d'émotion dégoulinaient sur les joues. Dans une première allocution devant la cathédrale Sainte-Anne, à Léopoldville, le Roi déclara: Fondée sur l'amour du prochain, la civilisation chrétienne a largement contribué à libérer la population de la servitude morale et physique subie depuis des siècles. Mais c'est au stade qui portait son nom, en présence de septante mille personnes, que le Roi prononça une de ces phrases que tous les Congolais allaient commenter: Nous avons des impératifs que nous impose notre souveraineté, et celle-ci doit être exercée sans partage. L'expansion d'un peuple neuf ne se justifie que par l'accroissement du bien-être de la population indigène. Le Roi fut accueilli avec la même allégresse par les populations de l'Urundi et du Ruanda. Avec le vice-gouverneur Harroy, les deux Bamis l'attendaient: le tout rond Mwambutsa et l'immense Mutara Rudahigwa. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #VoyageRoyal #BwanaKitoko #CongoBelge

«Bwana Kitoko» était apprécié partout sur le continent africain Le roi Baudouin a découvert l'Afrique en 1955, lors de son premier voyage au Congo belge. Depuis longtemps, il accumulait toute documentation concernant nos territoires d'outre-mer. Pendant près d'un mois, du 16 mai au 11 juin, il accomplit un tour complet de la colonie et visita aussi le Ruanda et l'Urundi, territoires dont la tutelle avait été confiée à la Belgique par la Société des Nations, mandat confirmé par l'ONU. Ce voyage fut pour le jeune monarque une véritable révélation. Durant les dix mille kilomètres qu'il parcourut, il reçut un accueil véritablement délirant de la part des populations, s'intéressant particulièrement aux conditions de vie des auto-chtones, s'entretenant longuement avec les plus humbles et se penchant vers les plus déshérités. Sa jeunesse souriante, sa sympathie rayonnante et spontanée lui valurent d'être appelé «Mwana Kitoko», ce qui veut dire en lingala «le bel enfant», surnom qui devint dans la légende «Bwana Kitoko», «le beau chef». L'avion royal, un DC-6, qui s'était envolé de Bruxelles la veille à 17 heures, atterrit à N'Dolo le lundi 16 mai, à 10 heures. Le Roi en descendit vêtu d'un uniforme blanc et fut accueilli par le gouverneur général Petillon et par le vice-gouverneur général Cornélis, coiffés l'un et l'autre du casque auréolé de plumes d'autruche blanches. La première main noire que le Roi serra fut celle d'une petite fille de cinq ans dont les larmes d'émotion dégoulinaient sur les joues. Dans une première allocution devant la cathédrale Sainte-Anne, à Léopoldville, le Roi déclara: Fondée sur l'amour du prochain, la civilisation chrétienne a largement contribué à libérer la population de la servitude morale et physique subie depuis des siècles. Mais c'est au stade qui portait son nom, en présence de septante mille personnes, que le Roi prononça une de ces phrases que tous les Congolais allaient commenter: Nous avons des impératifs que nous impose notre souveraineté, et celle-ci doit être exercée sans partage. L'expansion d'un peuple neuf ne se justifie que par l'accroissement du bien-être de la population indigène. Le Roi fut accueilli avec la même allégresse par les populations de l'Urundi et du Ruanda. Avec le vice-gouverneur Harroy, les deux Bamis l'attendaient: le tout rond Mwambutsa et l'immense Mutara Rudahigwa. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #VoyageRoyal #BwanaKitoko #CongoBelge

Les Missionnaires d'Afrique forment une société de vie apostolique missionnaire de droit pontifical également connus sous le nom de Pères blancs. Ils ne doivent pas être confondus avec les missionnaires de la société des missions africaines. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #Bizimana #RuandaUrundi #PèresBlancs

L'expédition du commandant Brondeel, qui tenta en 1934 la première liaison Belgique-Congo au moyen de poids lourds, est le fil conducteur de ce grand reportage réalisé à l'époque en Algérie, au Nigéria, au Congo et au Rwanda-Urundi. L'accomplissement en 112 jours de près de 26.500 kilomètres vaut une succession de données saisies sur le vif à l'occasion des moments de détente et qui montrent autant de géographie humaine que de paysages. L'intérêt accordé à telle oasis ou à tel massif volcanique, à des lacs et à la forêt, s'accompagne d'une observation aigüe des activités, de l'habitat et des différents groupes ethniques, en particulier, des Watutsi. Des images parfois brutales découvrent aussi les ravages provoqués par le climat, la maladie, les coutumes et l'ivrognerie. Note : Prix du gouvernement pour le meilleur film belge en 1935. Suivre sur Twitter: https://Twitter.com/BasedCongo #CinemaColonial #CongoBelge #RuandaUrundi

Terwijl het Belgische leger in eigen land bijna vier jaar lang achter de IJzer het laatste stukje grondgebied verdedigde, waren de Belgische koloniale troepen in Afrika in het offensief. Onder leiding van Belgische officieren veroverden Congolese soldaten van de Force publique een stuk Duitse kolonie, tien keer zo groot als België. De verovering van Tabora betekende voorlopig het einde van de Belgische operaties. De Belgische regering leek niet bereid de Force Publique verder in te zetten. Pas in het voorjaar van 1917 kon een beperkte Belgische troepenmacht in actie schieten. De Belgisch-Congolese troepen stonden onder bevel van kolonel Armand Huyghé en waren verdeeld in twee brigades. De eerste achtervolgde de troepen van majoor Wintgens, die nog altijd in de streek van Tabora opereerde, de andere hielp bij de strijd tegen de hoofdmacht van Lettow-Vorbeck, dienaar het zuiden was uitgeweken. De achtervolging van de troepen van Wintgens duurde vijf maanden, hoewel de zieke Duitse majoor zelf al in mei 1917 gevangen werd genomen. Maar reeds in mei 1917 ontruimden de Belgische troepen Tabora, volgens een afspraak met de Britten. De Force Publique controleerde wel nog de oostelijke oever van het Tanganyikameer en een strook tot aan het Victoriameer, met de bedoeling daar te blijven. De Britten dachten er anders over. Door de verovering van Duits Oost-Afrika konden ze een oude droom realiseren: de spoorweg Caïro-Kaapstad, van het noorden tot het zuiden van Afrika, helemaal op Brits territorium. Die spoorweg (die er uiteindelijk nooit zou komen) moest tussen het Victoria- en het Tanganyikameer lopen. Dus wilden de Britten daar de baas worden. Op de vredesconferentie van Parijs, in 1919, probeerden de Belgen het veroverde gebied te behouden of – nog beter – te ruilen tegen ander gebied in Afrika: een stuk Angola aan de monding van de Congostroom, of delen van Uganda en Soedan. Het pakte anders uit. De Belgische delegatie in Parijs vernam via de kranten dat de grote mogendheden beslist hadden om heel het voormalige Duits Oost-Afrika aan de Britten toe te wijzen, onder de vorm van een mandaatgebied van de Volkenbond. Na zware protesten mochten de Belgen dan toch een deel van hun veroveringen houden. Ruanda-Urundi werd een Belgisch mandaatgebied. Bovendien mochten goederen vanuit Congo zonder douanerechten via de Tanganyikaspoorweg worden vervoerd naar de Indische Oceaan. Volg op Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #Rwanda #Burundi #BelgischeKoloniën

Greetings from 1950's Kisenyi (Today Gisenyi) in Belgian Rwanda-Urundi with breathtaking views from East congo lake Kivu, mount Nyiragongo and the Virunga National Park in Goma, Belgian Congo. Follow on Twitter: http://twitter/BasedCongo Video by: https://www.flickr.com/photos/pgkivu/ #Kiseny #Goma #Rwanda #Congo

Ruanda-Urundi was een deel van de Duitse kolonie Duits-Oost-Afrika in Centraal-Afrika dat vanaf 1916 bestuurd werd door België, eerst als mandaatgebied later als trustgebied, tot het in 1962 onafhankelijk werd als de aparte landen Rwanda en Burundi. Volg op Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #Rwanda #Tutsi #Hutu

July 1947, Prince Regent Charles of Belgium visits the Rwandese part of the mandate territories of Belgian Ruanda-Urundi, Where the Prince and Rwandan King 'Mutara III Rudahigwa' oversee a traditional spectacle in which Elite Royal Tutsi Warriors present their Athletic skills. Follow on Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #PrinceRegentCharles #RuandaUrundi #BelgianRwanda